SUJET Les Problèmes de Mise en Œuvre d'Internet et d'Intranet et les Problèmes de Sécurité TABLE DES MATIERES INTRODUCTION I) Que signifie " Internet " ? I. 1) Généralités sur Internet I.1. a) Définition d'Internet I.1. b) Les Avantages et les Défauts d'Internet I.1. c) Que nous offre Internet ? I.1. d) Les Coûts d’Internet I. 2) Les Services et Applications d'Internet I.2. a) La Messagerie (E-Mail) I.2. b) Le service FTP I.2. c) Le service Telnet I.2. d) Le Site Web de l'entreprise I.2. e) Le Commerce Electronique I.2. f) Le service Archie I.2. g) Le service WAIS I.2. h) La Visioconférence I.2. i) Le service Gopher II) Qu'est ce que " Intranet " ? II. 1) Le concept Intranet II. 2) Les services et les fonctionnalités Intranet II.2. a) Les services de partage d'information II.2. b) Les services de communication et de travail coopératif II.2. c) Les services d'annuaires II. 3) Les avantages et les défauts d’Intranet III) La mise en œuvre d'Internet et d'Intranet ? III. 1) La mise en œuvre d'Internet III.1. a) Définir les besoins et les objectifs III.1. b) Informer le personnel III.1. c) Comment réussir la connexion ? III.1. d) Combien coûte une connexion ? III.1. e) La démarche de sécurité III.1. f) Les raisons de choisir son Provider III.1. g) Plan de formation III. 2) La mise en œuvre d'Intranet III.2. a) Les 4 principes fondamentaux de la mise en place d'un Intranet III.2. b) Les acteurs d'un projet Intranet III.2. c) Méthode de conduite d'un projet Intranet III. 3) La mise en œuvre d'un site web III.3. a) Préparation du cahier de charge pour le site III.3. b) Conception et Démarrage du site IV) La sécurisation des transactions ? IV. 1) Les Problèmes de Sécurités ? IV.1. a) Les menaces IV.1. b) Les risques IV.1. c) Les attaques IV.1. d) Les adversaires IV. 2) Les Solutions IV.2. a) L’Authentification et les signatures digitales IV.2. b) Les Algorithmes et les Outils de Cryptage et de Chiffrement IV.2. c) Les Firewalls IV.2. d) IP nouvelle génération (IPng) IV. 3) La Mise en Œuvre de la Sécurité CONCLUSION RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES GLOSSAIRE A travers une brève description des services d’Internet démontrer et réfléchir sur les méthodes de mise en œuvre d’Internet et d’Intranet et de leur Sécurité. La description de (s) la méthodes nous permettra de mettre en exergue l’efficience en matière de mise en place et nous permettra aussi de nous poser les bonnes questions afin de donner quelque indications au entreprise pour réponde aux questions " On ne sais pas comment faire ?, On ne sais pas quoi faire ?….. ". Vu la vaste liste des services d’Internet et d’Intranet, au cours de ce travail on se limitera à l’étude de l’implantation d’Internet, d’Intranet et des sites web car se sont les applications majeures de la toile au niveau publique et au niveau privé, sans oublier naturellement la Sécurité. L’analyse des méthodes de mise en place de ses services de bien définir les problèmes et les processus existants vis-à-vis de l’entreprise et de ses besoins. Donc, pour arriver à ce résultat, nous commencerons, par donner quelques généralités sur Internet et Intranet pour passer dans un deuxième temps à l’étude des méthodes de mise en place et d’en dégager les difficultés. Et passer dans un troisième temps aux problèmes de Sécurité et des méthodologies qui sont liées à Internet et Intranet ainsi que les solutions pour les résoudre. I. 1) Généralités sur Internet : I.1. a) Définition d'Internet : Selon Richard J. SMITH, Le terme Internet est difficile à cerner, car il fait référence à d'innombrables services et possibilités ouvrant autant d'horizons jusque là inconnus. Pour certaines personnes, il n'est rien de plus qu'un moyen convenable et pratique d'envoyer du courrier électronique à d'autres utilisateurs. Pour d'autres, c'est un lieu de rencontre où l'on se fait des amis, où l'on joue, polémique, travaille et voyage à travers le monde. Et Jean-Luc ARCHIMBAUD affirme dans son article que ….qui dit Internet dit réseau des réseaux. En effet c’est un immense réseau par le nombres d’utilisateurs et de stations, mais aussi par le nombres de liaisons et leurs débit. Ces stations (ou ordinateur) doivent parler le même langage dit en commun protocole notamment le protocole TCP/IP (Transport Control Protocol/Internet Protocol) pour pouvoir communiquer…. . I.1. b) Les Avantages et les Défauts d'Internet :
I.1. c) Que nous offre Internet ? : On peut regarder l'Internet avec les lunettes d'un économiste comme un ensemble de consommateurs et de producteurs d'information. Un consommateur utilise Internet pour travailler avec une informatique distribuée (connexion en mode terminal sur un ordinateur distant, transfert de fichiers entre ordinateurs, exécution partagée de programmes entre plusieurs stations...) ou accède à des informations de tous types (textes, images fixes ou animées, sons, sous différents formats) dans des bases de données distribuées avec des outils logiciels très divers (FTP anonymous, WAIS, Gopher, Archie, WWW...). Ces ressources et ces informations proviennent de producteurs. Ceux-ci peuvent mettre à disposition, rendre accessibles, en contrôlant les accès et éventuellement en facturant, leurs équipements informatiques (serveurs de calcul, disques, imprimantes...) ou leurs différentes informations (bases de données). De nombreux sites sont à la fois consommateurs et producteurs, ainsi cette distinction n'est pas exclusive. Les services de l'Internet sont en fait toutes les applications que l'on peut utiliser avec les protocoles de communication TCP/IP. Elles sont très nombreuses et de nouvelles apparaissent régulièrement. Elles fonctionnent en mode Client/Serveur et il y a donc pour chaque service un logiciel client et un logiciel serveur. Pour une application, le dialogue entre le logiciel client et le logiciel serveur, le protocole, est généralement décrit dans une RFC (Request For Comment) qui est le standard à respecter. Par commodité, on peut classer les services en trois familles : Classiques (ou de Type Informatique : Telnet et FTP), d'Accès à l'information (ou Outils de Diffusions : FTP anonymous, Wais, Gopher, WWW, …) et de Communication entre personnes (ou Outils de Dialogues : E-Mail, News, Newsgoup , vidéoconférence, travail en groupe, …). I.1. d) Les Coûts d’Internet : Selon "<<C'est gratuit !>> dit le chercheur. <<C'est hors de prix !>> dit le P-DG de la PME.". Malgré, les impressions de nombreux utilisateurs, Internet n’est pas gratuit. Il y a d’abord les coûts d’utilisation des serveurs distants ou de consultation de Bases de données. Ces coûts sont exprimés sous forme de "Forfait" ou abonnement mensuel ou annuel mais le prix dépend du débit de la liaison. Et dans le cas d’un accès par réseau téléphonique, il faudra y ajouter un coût horaire de connexion téléphonique. De leur côté, les réseaux des prestataires de services sont financés par leurs clients, avec différents types de facturation, le forfait étant le principal modèle. Un schéma similaire se retrouve souvent dans les autres pays. Tout ceci nous permet d’en déduire que c’est les utilisateurs (clients, prestataire local ou régional ou…, opérateurs, Provider, …) qui financent les services fournis sur le réseau et chacun à un certain niveau. I. 2) Les Services et Applications d'Internet : I.2. a) La Messagerie (E-Mail) : Maintenant très répandu, elle permet de s'affranchir des interruptions téléphoniques et des décalages horaires. Chaque utilisateur possède une adresse unique (adresse électronique ou Email), souvent de la forme Prenom.Nom@nom_de_domaine.fr, comme allal.mennis@esa.upmf-grenoble.fr. La messagerie se base sur les principes de la communication suivants : communication en temps différé entre expéditeur et destinataire, pas de connexion directe entre les terminaux expéditeur et destinataire et mise en mémoire du message / analogie de la boite aux lettres (BAL). Les avantages : Disponibilité, Efficacité, Mobilité, Simplicité d'utilisation et flexibilité, Rapidité, Données exploitables, Communication de groupe et Maîtrise des communications (la communication n'est pas plus imposée). Les protocoles de messagerie : Le protocole standard utilisé sur l'Internet, est SMTP ainsi que MIME, POP et IMAP. FTP (File Transfert Protocol) est un outil indispensable pour transférer des données entre ordinateurs sur Internet. C'est aussi un protocole standard de haut niveau pour transférer des fichiers d'un nœud (unité d'interface ou solution sur réseau) à l'autre, il fonctionne quel que soit le type d'ordinateur utiliser et quelle que soit la machine de l'autre côté de la connexion. Un des atouts remarquables des logiciels FTP, c'est la vitesse avec laquelle les fichiers peuvent être envoyer et/ou reçus à travers Internet. Certains logiciels sont disponibles gratuitement. Cette gratuité se décline sous deux aspects : Les Freeware : Les logiciels dits Freeware sont des logiciels gratuits dont certains son même disponible en code source, leurs auteurs les offrent gratuitement à la communauté navigante, car ce sont des êtres altruistes et généreux. Les Shareware : Les logiciels Shareware sont des programmes que leurs auteurs souhaitent que nous échangions entre nous utilisateurs, chose qui n'est innocente. En effet, dans le premier cas de figure, il va falloir payer la licence d'exploitation du produit, et dans le deuxième cas, le logiciel aura une durée d'utilisation et de vie limitée (ou version d'évaluation) à 30 jours en moyenne, ce qui nécessite une réinstallation à terme sinon on sera dans l'obligation d'acheter la version définitive. Le FTP anonyme : Les utilisateurs appellent ce serveur avec un logiciel client FTP, entrent "anonymous" comme nom d'utilisateur et leur adresse électronique comme mot de passe. Puis ils utilisent les commandes classiques de FTP. Il est souvent utilisé pour télécharger sur l'ordinateur des fichiers provenant d'autres ordinateurs autorisant un accès public aux fichiers. Grâce à la connexion FTP anonyme, on a pas besoin de mot de passe ou de compte pour accéder à un ordinateur hôte éloigné. Seuls les fichiers du répertoire réservé au publics sont disponibles. Telnet est un programme mettant en œuvre le protocole TELNET, basé sur la suite des protocoles TCP/IP en utilisant une architecture Client/Serveur. Les deux acteurs du scénario Client/Serveur négocient entre eux pour savoir comment ils vont procéder à la connexion et se mettre d'accord sur une langue commune. Le service Telnet permet d'utiliser un micro ou une station de travail comme un terminal raccordé à un ordinateur. Sauf exception, pour accéder à cet ordinateur il faut y avoir un compte, un nom et un mot de passe. Toute fois, Telnet n'est pas sans limites. Si le trafic de données devient trop important sur l'un des réseaux qui vous relient à l'ordinateur éloigné, les échanges pouvons être très lents, nuisant à la procédure. I.2. d) Le Site Web de l'entreprise : Généralités :
Les différents styles de sites : le site "Plaquette", le site "Communication Institutionnelle", les sites "Transactionnels" et dans les cas d'appel à des prestataire extérieurs. Les compétences nécessaires : Technicien, Graphiste, Maquettiste, Rédacteurs et Chef de projet. Les conseils à retenir : Faire attention à l'ergonomie, Eviter les images trop lourdes, Formulaire de retour, Prévoir le bon personnel pour maintenir le serveur, Exiger des statistiques de consultation, Mettre très souvent le serveur à jour et Promouvoir le service en ajoutant des liens vers d'autres sites. I.2. e) Le Commerce Electronique : Selon le rapport du groupe de travail présidé par M. Francis LORENTZ sur le commerce électronique pour le compte du Ministère des Finances Français : " Le Commerce Electronique couvre, à la fois, les échanges d’information et les transactions concernant des produits, équipements ou biens de consommation courante et des services (services d’information, financiers, juridiques...). Les moyens ou modes de transmission utilisés peuvent être divers : téléphone, télévision, Minitel, réseaux informatiques, Internet, etc. Leur caractéristique commune est de traiter de l’information numérisée incluant données, texte, son et images. " Et selon la commission "Commerce Electronique" du Chapitre Français de l'Isoc, elle considère que le commerce électronique est avant tout du commerce et que le réseau n'est qu'un moyen ou support de communication. Et elle recommande de bien distinguer le commerce entre entreprises (Business to Business, B2B) et le commerce avec les particuliers (Business to Consumer, B2C). Il est évident que ces deux domaines partagent des technologies et des techniques et le "médium" Internet, mais leurs contextes réglementaires et contractuels respectifs, qui sont fort différents, nous paraissent plus importants que les outils communs. Archie est une sorte de bibliothécaire géant qui explore régulièrement et automatiquement de nombreux serveurs d'Internet et indexe leurs fichiers pour créer une base de données. Cette base de données constitue par conséquent un index de répertoires, une compilation de tous les fichiers disponibles de chaque serveur interrogé par le programme Archie. Donc, Archie n'est pas un seul système, mais, une collection de serveurs. Archie est basé sur une architecture Client/Serveur. Toute fois, Archie n’est pas sans limites. Ses bases de données contiennent uniquement les fichiers des serveurs accessibles via FTP. Par conséquent, les sites accessibles uniquement aux utilisateurs disposant d'un nom et login ne sont pas inclus dans les bases de données d'Archie. Une autre limite du programme, est qu'il ne sait rien sur le fichier chercher. Il ne propose aucune information sur le contenu du fichier et ne dit pas s'il s'agit d'un programme ou d'un fichier texte ou d'une base de données. WAIS a été un des 1er programmes à être bâti autour de la norme internationale Z39.50 similaire au langage SQL, qui est une définition de services de récupération d'informations et spécifications pour normes de programmes de bibliothèque. Tous les serveurs WAIS sont accessibles à tous les clients et sont censés être capables de se connecter à toutes les bases de données étant donner que la plupart des bases de données sur Internet utilisent des procédés différents pour stocker les données et pour y accéder. Le client pose une question avec une suite de mots clés à un ou plusieurs serveurs qui hébergent de telles bases. Il reçoit en retour une liste de descripteurs de documents. Il peut ensuite transférer ces documents sur sa station, s'il le désire. Il existe un annuaire mondial des bases WAIS "directory-of-servers" gérée par la machine quake.think.com et un annuaire des bases françaises, "directory-zenon-inria-fr" sur la machine zenon.inria.fr. Les limites de WAIS viennent du fait qu'on ne peut pas effectuer des recherches de texte français (les base de données à votre disposition sont en langue anglaise), les caractères génériques ne sont pas disponibles. La logique booléenne non plus n'est pas applicable dans la plupart des recherches via WAIS. Autrement dit, on ne peut rien faire d'autre que de chercher un mot ou plusieurs mots. Comme son nom l'indique, la visioconférence permet à deux interlocuteurs, voire d'avantage, de communiquer verbalement en se voyant. Le but de la visioconférence est de réussir, voir, décider en direct et indépendamment, d'investissement accessible et de réduction des frais de fonctionnement. La visioconférence offre plusieurs gains à l’entreprise notamment, une réaction rapide aux évolutions du marché, permet la gestion du développement de l'entreprise, une dynamisation de la communication interne, amélioration de la gestion des ressources humaines et une meilleure disponibilité des cadres. Gopher est un système Client/Serveur pouvant être utilisé sur un grand nombre de machines, dont UNIX, DOS, WINDOWS et X-windows. Il ne s'agit pas d'un seul index, mais de nombreux index distribués depuis des centaines d'emplacements différents et reliés entre eux par des milliers de liaisons. Le logiciel client tourne sur notre ordinateur peut négocier avec tous les serveurs Gopher. Si le système informatique local comprend un serveur Gopher, c'est probablement là qu'on commencera l'apprentissage. Dans le cas contraire, notre client Gopher pourra accéder à n'importe quel serveur Gopher sur Internet. Il présente à l'utilisateur les documents disponibles sur l'Internet comme un immense arbre similaire à un système de fichiers, où chaque fichier peut être sur n'importe quel serveur de l'Internet. L'utilisateur peut se promener dans l'arborescence, visualiser un document sur son écran, rapatrier un fichier sur son poste de travail pour le stocker localement et interroger des bases de données indexées en fournissant des mots clé. Ce service est maintenant de plus en plus remplacé par www, mais la base existante perdure. On peut définir le concept Intranet comme étant l'utilisation de tout ou partie des technologies et des informations d'Internet pour les besoins de transport et de traitement des flux d'informations internes d'un groupe d'utilisateurs identifiés. Ce concept est lié aussi à la maîtrise d'un réseau en garantissant la qualité des services, ses évolutions et la sécurité. Il ne faut pas oublier que c'est un Internet privé. Les protocoles utilisés dans les Intranets sont : TCP/IP, SNMP, FTP et NFS, X-windows, SMTP, POP et IMAP, NNTP, LDAP/X500 et HTTP, CGI et HTML. II. 2) Les services et les fonctionnalités Intranet : Un Intranet nous offre des services dont les outils de communication interne, la base de connaissance de l'entreprise, la messagerie, l'agenda partagé, le Groupware, des forums de discussion et les services classiques de réseau local. Pour comprendre et cerner l'importance actuelle d'Intranet regardons de plus près tous les services et fonctionnalités : II.2. a) Les services de partage d'information : Les serveurs de fichiers : sur un Intranet, les serveurs de fichiers sont souvent les serveurs de fichiers classiques des systèmes d'exploitation utilisés. Notamment avec l'utilisation de NFS. Il y a aussi le transfert de fichiers qui s'appuie le plus souvent sur le protocole FTP. Les serveurs de documents : les serveurs de documents dans un Intranet permettent aux utilisateurs de rechercher et de consulter l'ensemble des produits par l'organisation. Les serveurs sont dans la plupart des cas des serveurs Web vu qu'ils facilitent l'implantation des moteurs de recherches et surtout en texte intégral. Les serveurs de données (Base de Données) : les Bases de Donnés sont celles fondés sur les standards du marché, notamment SQL. Elles s'interfacent avec elles aussi avec les services Web pour être consultées. Les services de production et de publication d'information : pour que l'information soit consultable par tous sur un Intranet, il faut que les outils et les suites bureautiques utilisent le même format à la sortie. Le format le plus utilisé dans ce cas est le format HTML qui est le standard de présentation de l'information sur Intranet et aussi sur Internet. II.2. b) Les services de communication et de travail coopératif : La messagerie et les listes de diffusion : la messagerie d'un Intranet ressemble trait pour trait aux messageries propriétaires que nos SI ont vu fleurir ces dernières années. L'utilisation des listes de diffusion dans les Intranets des entreprises intervient au niveau des projets de nouveaux produits, pour les comités d'entreprise, pour les annonces, les résultats commerciaux, … La circulation de documents : la circulation de documents est une extension naturelle de la messagerie et dans tous les cas, il s'agit de coller au mieux au processus de l'entreprise. La visioconférence et l'audioconférence : les outils de la visioconférence trouvent toute leur puissance sur un Intranet. Les forums : les services de forums suivent de très près la messageries et/ou les serveurs Web dans la construction d'un Intranet. Il y a 2 types de forums qui sont utilisées : les forums interactifs en temps réel et les forums interactifs en temps différé. II.2. c) Les services d'annuaires : Les annuaires permettent de retrouver les adresses et les droits de chacun des utilisateurs de l'Intranet. Les mécanismes les plus utiliser sont X500 et LADP. Il y a aussi l'annuaire des catalogues et des indexe des informations produites. Il faut y rajouter l'annuaire des clés de chiffrement. II. 3) Les avantages et les défauts d’Intranet :
III. 1) La mise en œuvre d'Internet : Pour la mise en œuvre, l'entreprise doit suivre une méthodologie rigoureuse. Un projet bien pensé dès le départ pourra éviter bien des désagréments par la suite. Le projet de mise en place passe par le respect de la formule suivante :
Ces phases sont nécessaires et obligatoires pour la réussite du projet. III.1. a) Définir les besoins et les objectifs : Avant de se connecter physiquement, l'entreprise devra comme pour tout projet informatique, passer par une phase de réflexion sur l'utilisation qu'elle désire faire d’Internet. Les questions suivantes devront trouver des réponses claires et précises :
III.1. b) Informer le personnel : Le projet Internet devra également être bien compris, assimilé et accepté par ses utilisateurs au sein de l’entreprise. Sans information au départ, les utilisateurs risquent de mal assimiler le phénomène culturel représenté Par Internet. Cette Information peut se faire sous forme de réunions, rassemblant certains profils communs : une demi-journée avec les personnes à caractère plus commercial, une avec celles dont le travail est plutôt de type administratif, puis technique, etc. Bien entendu, le discours sera adapté au profil de chacun des groupes de personnes. Une démonstration simple des possibilités d'Internet sera également une bonne chose pour mieux visualiser la portée des outils disponibles. III.1. c) Comment réussir la connexion ? : Il existe une multitude de possibilité pour connecter l’entreprise à Internet. Nous nous pencherons donc plus spécifiquement sur les deux solutions de connexion aujourd'hui les plus utilisées par les entreprises. c1) La connexion directe : Elle se fait par l'intermédiaire d'une liaison louée entre le site informatique et celui de l'opérateur Internet. Votre réseau est connecté à celui de l'opération Internet (au moyen de routeurs) par l'intermédiaire d'une liaison Transfix ou Transpac. Les boîtes aux lettres E-mail des utilisateurs de votre entreprise sont gérées par un logiciel spécifique sur votre site. Vous êtes connecté au réseau 24 heures sur 24. Seuls les opérateurs Internet donnent aujourd'hui l'accès à ce type de connexion. La facturation auprès de cet opérateur peut être de deux types : forfaitaire ou au prorata du volume d'informations échangées. Les postes de coût, comme le verrons plus loin, sont alors les suivants : Coûts d'investissement :
Coûts de fonctionnement :
c2) La connexion Dial-up IP : La connexion Dial-up IP est assez comparable à la connexion directe, puisque vous aurez, si votre besoin est uniquement de rechercher de l'information, pratiquement les mêmes logiciels sur vos ordinateurs. Mais la connexion ne se fera plus par le biais d'une liaison louée, mais par le réseau téléphonique (RTC) ou une liaison Numéris (RNIS) : On ne parle plus ici de retours, seuls un ou des modems (adaptateurs Numéris) suffiront à la connexion. La connexion en Dial-up IP est proposée par les opérateurs Internet et les offreurs de connexion. L'abonnement peut-être soit au forfait, soit à la durée, soit au volume d'informations échangées. Dans ce cas, le mieux est une facturation au forfait, elle vous permettra de gérer plus efficacement vos budgets. Pour l’E-Mail, l'offreur de connexion hébergera vos boîtes à lettres sur son site. Vous vous connectez à la demande, soit pour rapatrier sur votre machine les messages qui vous ont été envoyés, soit pour envoyer vos propres messages. Les postes de coût seront alors les suivants : Coûts d'investissement :
Coûts de fonctionnement :
III.1. d) Combien coûte une connexion ? : Il est très difficile de donner des coûts exhaustifs, nous allons essayer de donner des fourchettes de prix selon l'utilisation que vous désirez faire du réseau. d1) La connexion d'un poste isolé pour l’E-Mail : Vous désirez connecter une seul machine de votre entreprise sur Internet. Une connexion directe n'est pas à envisager car elle coûterait trop cher. La seul solution viable est le Dial-up IP en RTC. La connexion Numéris n'apporterait pas gros avantages car les temps de transmission d'information sont relativement courts avec un outil comme la messagerie.
Les coûts en logiciels peuvent être nuls (si le choix se porte sur l'option de n'utiliser que des logiciels en Freeware) ou de l'ordre de 500 à 1000 Frs (si vous achetez un produit "packagé" dans le commerce). d2) La connexion d'un poste isolé pour l’E-Mail et la consultation de services : L'utilisation d'Internet ne se limitera pas ici à la messagerie électronique. Tous les outils fournis par le réseau pourront être utilisés (FTP, News, navigation sur les services Gopher ou Web, …), ce qui induira un temps de connexion moyen bien plus long. Le cas d'une connexion RTC :
Le cas d'une connexion Numéris :
Le tableau précédant montre bien que la solution Numéris n'est pas à privilégier dans ce cas figure, sauf si vous désirez à tout prix avoir accès à un débit assez fort. Il deviendra par contre plus intéressant dans un cas de fort trafic (par exemple, plusieurs dizaines d'heures de connexion par mois). d3) La connexion d'un réseau de machines pour l’E-Mail : La solution envisagée ici sera la mise en réseau d'un certain nombre de modems, à l'aide d'un boîtier partageable, qui permettra à chaque utilisateur du réseau d'avoir un accès à Internet. Supposons un réseau de 20 machines. Deux à trois modems seront suffisants dans ce cas. L'entreprise devra donc installer trois lignes téléphoniques (il est conseillé d'installer des lignes directes). On suppose que les micro-ordinateurs sont déjà présents sur le site. Ils ne sont donc pas comptabilisés dans les frais d'investissement. On estime que chaque machine générera un trafic de 5 minutes de connexion par jour, soit 100 minutes par mois, soit 2 00 minutes (33 heures) mensuelles pour le réseau total :
Il est très difficile de définir le coût de l'opérateur pour la connexion d'un réseau dans ce type de configuration. Il existe en effet deux types d'offres : dans le premier cas, le fournisseur considère votre réseau de façon global quel que soit le nombre de machines connectées, plus un coût à l'heure de connexion; dans le deuxième cas, le fournisseur vous demande un coût d'abonnement mensuel par machine plus un coût horaire. d4) La connexion d'un réseau de machines pour l’E-Mail et la consultation de services : Une configuration technique identique à celles du cas précédant sera retenu dans ce cas de figure, la seul différence étant l'utilisation beaucoup plus intensive des outils d'Internet. Les chiffres retenus dans cet exemple sont : 10 heures mensuelles de connexion par machine, soit 20 heures pour l'ensemble du réseau.
La solution Numéris pourrait sembler plus intéressante mais, tous calculs faits, on obtient à peu près les mêmes chiffres que ci-dessus pour une configuration identique. d5) La connexion par liaison louée d'un réseau de machines pour l’E-Mail et la consultation de services : La configuration technique est identique au cas précédant et l'estimation en nombre d'heures de connexion, via un routeur, par liaison louée de type Transfix.
Les coûts fournisseur sont parfois plus élevés mais le chiffre indiqué ici semble être une bonne moyenne. La tarification n'est jamais appliquée au nombre d'heures, mais au forfait ou au volume d'informations échangées. On s'aperçoit très rapidement que dès que le trafic dépasse un certain nombre d'heures par mois, la mise en place d'une liaison louée devient rentable par rapport à la connexion Dial-up IP. III.1. e) La démarche de sécurité : Il n'est certes pas question d'affirmer ici que l'utilisation des réseaux informatiques est sans danger. Les risques existent réellement et peuvent représenter de lourdes pertes en cas d'attaque. Il existe deux façons principales d'utiliser Internet : la communication de personne à personne et de personne à serveur. Le plus gros risque induit par la communication d'informations par messagerie est l'interception de vos messages par une personne malveillante ou un mauvais aiguillage de ceux-ci les acheminement vers un destinataire non approprié. Si ce dernier type de problème arrive finalement assez peu souvent, personne n'est toute fois à l'abri d'un tel désagrément. En ce qui concerne la malveillance de pirates éventuels, on peut considérer que le nombre colossal d'information transitant à travers le réseau constitue déjà en soi une assez bonne protection. Pour remédier à ces inconvénients du côté de l'utilisateur, la solution serait de chiffrer soit le contenu des messages, soit certaines informations confidentielles. En complément des technologies de cryptage, il existe également des systèmes d'authentification, d'horodatage et de certification des messages qui permettent d'être sûr que ceux-ci ont bien été envoyés et reçu ou d'apporter la preuve d'éventuelles falsification. L'autre problème posé par la messageries est l'import de virus contenu dans un fichiers qui vous aurait été envoyé, attaché à une missive. La solution est simple : la très large gamme de logiciels anti-virus devrait minimiser très fortement tout risque de ce genre. En fin les plus gros risques à l'heure actuelle se trouvent dans l'installation d'un serveur pour mettre à la disposition des usagers du réseau des informations sur l'établissement et ses produits, voire pour faire de la vente par correspondance. En effet en mettant en place ce type de projet, vous installez 24 heures sur 24 sur le réseau une fenêtre ouverte sur votre site informatique, laissant ainsi aux "hackers" libre cours à leur malveillance. La première solution consiste à isolé physiquement le serveur de votre site informatique afin que toute intrusion ne soit pas équivalente à un pillage en règle de toutes les informations relatives à votre entreprise. Une autre solution consiste à installer des logiciels de type Firewalls (appelés "Coupe-Feu" ou "Garde-Barrière") qui prémunissent le serveur d'éventuelles qui prémunissent le serveur d'éventuelles attaques de l'extérieur. Ces systèmes n'assurent pas protection ultime, mais retardent toute intrusion suspecte en avertissant l'administrateur du réseau qu'une manœuvre malveillante est en cours ou a été effectuée. Il convient d'ailleurs de dire ici qu'il n'existe aucun système de sécurité inhabile à 100%. III.1. f) Les raisons de choisir son Provider : Le choix d'un fournisseur de connexion Internet ne se résume pas à l'unique aspect des coûts. L'offre de connexion doit être complète de nombreuses questions sont à poser aux entreprises que vous allez contacter :
Une des solutions les plus efficace pour avoir des renseignements fiables sur l'entreprise est de chercher puis de contacter quelques-uns de ses clients pour connaître leur expérience et leur vécu. Internet est une immensité dans laquelle on ne s'aventure pas à l'improviste. Les personnes qui seront connectées sur le réseau dans votre entreprise devront avoir été formées au préalable pour éviter de se perdre dans la jungle des services existants. Cette phase de formation est capitale car il est très courant de voir des personnes rechercher des informations sur le réseau et naviguer des heures durant sans trouver le moindre renseignement et donc se décourage très vite, tout simplement par manque d'information et de formation préalable et cette aisance dans la navigation ne s'acquiert pas en un jour. Il va falloir prévoir un budget important pour ce poste car sinon, c'est l'ensemble de votre projet qui pourrait prendre l'eau. III. 2) La mise en œuvre d'Intranet : Construire un Intranet est plus qu'un simple assemblage de briques techniques venant d'Internet. Un Intranet s'appuie en effet sur des concepts forts, qui le différencient des approches informatiques traditionnelles et qui posent les bases des SI des prochaines années. III.2. a) Les 4 principes fondamentaux de la mise en place d'un Intranet : a1) Standardiser les composantes du SI : L'approche qui s’appuie sur les produits d'un seul fournisseur, reflète un souci de cohésion et de performances. Les dangers de cette approche sont que l'évolution du SI est très liée au dynamisme et la capacité de réponse du fournisseur même si cette évolution est lente et difficile, il ne faut pas aussi négliger l'énorme désavantage du rapport coût/fonctionnalité. On peut adopter une autre approche qui s’appuie sur les normes définies par de grands organismes mondiaux même si le décalage entre le temps de conception de la norme et le temps de sa mise sur le marché est trop long. Pour garantir la pérennité, un Intranet s'appuie sur l'utilisation d'éléments ouverts et interchangeables. Ce mouvement a été amorcé par le Client/Serveur, il y a quelques années. Il s'agit de construire un SI modulaire, puissant, mais qui utilise des standards techniques du marché. Si un autre fournisseur propose des produits aux fonctionnalités ou à des coûts plus intéressants, on remplacera la brique existante par ce nouvel élément. L'ensemble du système ne sera pas remis en cause. Dans la construction d'un Intranet on fait donc le choix :
a2) Recentrer le SI sur le serveur : Le choix de l'architecture Client/Serveur offre une grande souplesse et une évolution indispensable à l'entreprise, il n'en reste pas moins que les coûts induits par cette architecture sont très lourds. Avec un Intranet, il n'est plus nécessaire de diffuser les applications, celles-ci sont programmées en HTML et/ou en JavaScript et/ou en Java et sont concentrées sur le serveur, ce recentrage fait des serveurs web les plaques tournantes du système. a3) Offrir un client universel : Le client universel permet de ne mettre en place qu'une seule application pour accéder à l'ensemble des services existants ou à venir du système : messagerie, forums, transfert de fichiers, interrogations de bases données, applications, etc. Cette approche est une évolution majeure de l'informatique de l'entreprise car elle permet plus de réactivité, plus de souplesse, tout en réduisant les coûts et les contraintes de déploiement. a4) Orienter l'Intranet vers la communication : L'approche choisie ces vingt dernières années dans la construction des systèmes cause une dispersion de l'informatique. Les systèmes ont été construit autour des traitements (gestion de la production, analyse des données, bureautique individuel, ...). La communication entre personnes et services n'était pas critique pour l'activité. Mais, en construisant un Intranet, on recentre le système sur la communication. En intégrant la messagerie, forums et serveurs d'information, on recherche à améliorer la communication. Cette communication entre les différentes unités de l'organisation et à rendre l'accès à la richesse d'information à tout le monde. III.2. b) Les acteurs d'un projet Intranet : Le projet Intranet est mené par les hommes créatifs de l’entreprise, qui s'intéressent aux nouvelles technologies et qui ont les moyens de s'exprimer :
Il est aussi important de mettre en place un partenariat entre le maître d'ouvrage et le maître d'œuvre. III.2. c) Méthode de conduite d'un projet Intranet : Un projet Intranet, par ses caractéristiques, par son objet et les techniques déployées, nécessite le déroulement de méthodes appropriées. Le schéma ci après permet de visualiser les différentes étapes nécessaires à la réussite de mise en œuvre d'un Intranet dans l'entreprise. Ce schéma est à lire de préférence de bas en haut. Les interactions entre les différentes étapes sont très fortes. Le détaille des étapes est le suivant :
Il est illusoire de se lancer dans la conception et la réalisation d'un réseau Intranet d'une certaine ampleur sans avoir une certaine idée de la stratégie de l'entreprise. Il est également clair que le projet Intranet ne pourra à lui seul déclencher les véritables mutation de l'organisation de l'entreprise. Il permettra de mettre en œuvre la volonté affirmée des décideurs et aura le mérite essentiel d'offrir à l'ensemble des collaborateurs de participer pleinement à la reconstruction de l'organisation. La phase du diagnostic doit permettre également d'identifier les contraintes internes et externes de l'entreprise sous les angles : fonctionnel, organisationnel, techniques et financier.
Le scénario est comparable à un petit schéma directeur de type opérationnel et orienté sur le fonctionnel et organisationnel. Le scénario débouche sur un découpage en sous-projet de conception et de réalisation sauf pour l'étude technique qui est faite pour l'ensemble des sous-projets.
Après découpage fonctionnel et choix des projets prioritaires, le maître d'ouvrage et les utilisateurs doivent formaliser les spécifications fonctionnelles générales des nouvelles applications ou l'accès aux applications actuelles à maintenir.
Le prototypage a de nombreuses vertus. Il permet de valider les choix techniques, de présenter les premières fonctionnalités afin de faire émerger plus facilement le réel besoin des utilisateurs et il permet de mettre en place rapidement le navigateur et le serveur qui constitueront les fondations du futur Intranet. Le formalisme de cette phase sera très léger.
Les séminaires d'expression des besoins se déroulent dans un délai d'une à deux semaines, lors de la première séance (1 à 2 heures), le prototype est présenté au groupe d'une dizaine d'utilisateurs de tous niveaux (dirigeants, cadres, techniciens, secrétaires,…). On y découvre les fonctions de messagerie, le serveurs web, les utilisateurs sont invités à l'accès à Internet, lors des séances suivantes, les utilisateurs sont invités à s'exprimer librement sur ce qu'ils ont vu, sur les besoins et souhaits que cela suscite en eux, sur les éventuelles difficultés.
Aucune des actions classiques de mise en organisation d'un projet ne doit être négligée dans le cadre dans le cadre d’un Intranet : mise à disposition des moyens nécessaires en postes de travail et outils de télécommunication sensibilisation, formation, organisation de la maintenance…
Il s'agit de définir et mettre en place l'architecture technique nécessaire en élaborant l'architecture du réseau et la gestion du trafic, en choisissant les outils compte tenu de l'expérience du prototype.
Les développements peuvent être réaliser en démarches RAD (Rapid Appication Developement), en fusionnant les étapes de spécifications détaillées et réalisation, avec la collaboration active des utilisateurs.
Le déploiement du navigateur sur l'ensemble des postes capables de l'héberger permet aux utilisateurs de bénéficier très rapidement des fonctions de bases de l'Intranet (messagerie, forums, Internet,…). L'accès à Internet permet à chacun de se familiariser avec le navigateur et de découvrir l'étendue de la toile à l'échelle de la planète.
Le projet Intranet n'a pas vraiment de fin, au sens où l'une de ses caractéristiques réside dans sa forte capacité d'évolution. Les serveurs web doivent vivre, évoluer, s'enrichir en permanence. L'ouverture vers les clients ou fournisseurs aux partenaires de l'entre prise demande des adaptations et offre des nouvelles perspectives. En plus, les utilisateurs, principaux bénéficiaires de l'architecture, auront de nouvelles idées pour mieux travailler ensemble, mieux répondre aux, mieux forger la culture d'entreprise. III. 3) La mise en œuvre d'un site web : III.3. a) Préparation du cahier de charge pour le site : a1) Présentation de l'entreprise (résulte de l'état de l'existant) : La présentation de l’entreprise doit contenir une description précise des informations suivantes afin de facilité la conception des propositions sur le fond du site afin qu’il soit bien adapté à l’image de l’entreprise :
a2) Le projet de serveur (résulte de l'analyse des besoins) :
a3) Demande d'offres de prix : Cette partie est très importante pour la formalisation et la forme du site et de son contenu ainsi que sa bonne marche sur le web et que pour son succès. Et finalement, pour qu’il puisse atteindre l’objectif fixé :
III.3. b) Conception et Démarrage du site : b1) Choisir le Nom de Domaine :
b2) Choisir une solution d'Hébergement : Dans notre choix, on doit se baser sur les points suivant :
b3) Ergonomie : Pour allier la richesse des images et la rapidité, il faut employer correctement les formats graphiques et les palettes de couleurs. Il est par conséquent indispensable de les optimiser afin de limiter les temps de chargement. Le choix du format approprié, qui passe par bonne maîtrise de ses caractéristiques, permet également de comprimer considérablement la taille des fichiers.
Le W3C à homologué une série de balises et d'attributs, afin de contrôler l'affichage des pages web. Il est donc désormais possible de paramètrer le texte avec des feuilles de style.
La gamme de logiciels Macromedia permet de développer animations et illustrations ou de réutiliser des applications existantes pour rendre un site Web plus attrayant. L'utilisation a besoin du plug-in Shockwave. b4) Développement : Un formulaire HTML permet d'établir un dialogue pour rassembler des information sur les utilisateurs et les traiter directement, soit pour enrichir une base de données, soit pour les renvoyer vers un CGI. Réservation de places, inscriptions, demandes d'information, achats en ligne… Le formulaire est indispensable à un site Web qui se veut plus qu'une simple vitrine. Ainsi, il est possible de passer de la consultation passive à un vrai dialogue, faisant remonter l'information depuis le visiteur jusqu'au propriétaire du site. Le formulaire apporte l'organisation nécessaire à un traitement de l'information automatique et à grande échelle, en structurant les pages grâce à des champs de saisie formatés. Pour créer un formulaire convenable il faut :
On peut aussi utiliser le langage JavaScript pour réaliser des formulaires en le combinant avec HTML pour avoir des formulaires plus dynamiques.
On peut aussi utiliser le langage JavaScript pour réaliser des formulaires en le combinant avec HTML pour avoir des formulaires plus dynamiques ainsi que des pages plus actives et plus attractives.
L'utilisation du langage JAVA a travers des applets autonomes qui s'exécutent dans les navigateurs des clients permet d'aller encore plus loin dans l'aspect dynamique et dans l'attractives vu la richesse de ces apports. Il nous permet aussi de concevoir des interfaces universelles pour toutes les plates formes.
L'utilisation de la technologie Active Server Pages permet de d'insérer des scripts ASP facilitant l'envoi d'information à l'utilisateur et la nouvelle directement de pages, afin de contrôler l'accès au serveur web. Il est parfois nécessaire d'afficher plusieurs images lourdes. Plutôt que de les afficher toutes systématiquement, et que le changement de la page soit long, un formulaire permet d'afficher uniquement les images désirées.
Un document ActiveX est une application exécutable dans un conteneur tel que le navigateur. C'est un objet pouvant contenir d'autres ActiveX, des méthodes, ou des contrôles (boutons, zones de texte, liste, etc.). Les fichiers ActiveX compilé est placé sur un serveur HTTP et distribué sur Internet. Les utilisateurs lance sur leur poste depuis le navigateur, qui installe les composants et exécute l'ActiveX. b5) Référencent : Promouvoir son site sur le web, c'est l'inscrire sur les serveurs de recherche. Si l'opération est réussie, un utilisateur pourra rapidement le trouver grâce à des mots clés.
b6) Administration et Maintenance : Analyse de la fréquentation et la consultation du site web : Les logiciels de statistiques analyses les informations des fichiers logs. Ces données permettent d'avoir. Cette analyse nous permettre :
Une basse fréquentation sur un fichier peut avoir des causes multiples : manque d'intérêt pour le produit, rubrique dans une arborescence trop complexe, page précédente trop lourde à afficher en raison images trop nombreuses. Evidemment, il ne s'agit pas de remanier complètement le site mais de l'affiner par petites touches successives pour améliorer la fréquentation des fichiers délaissés. b7) Sécurité : IV) La sécurisation des transactions ? La sécurité est un sujet très large, qui présente divers aspects. Sous sa forme la plus simple, elle doit permettre d'être sûr qu'un individu mal intentionné ne viendra pas lire des messages qui ne lui sont pas destinés, pire encore, les modifier. On peut aussi vouloir empêcher les accès non autorisés à des services en ligne et être sûr que, lorsqu'on reçoit des impôts un message se terminant par "A payer avant le vendredi dernier délai", ce message provient bien des services fiscaux et pas de la mafia. La sécurité doit également permettre de débusquer les captures et les rejets d'échanges légitimes, de même qu'elle doit empêcher un participant à une transaction denier sa réalité. Les problèmes de sécurité des réseaux et des transactions peuvent être, en première approximation classée en quatre catégories : la confidentialité, l'authentification, la non - répudiation et le contrôle d'intégrité. La cryptographie permet la mise en œuvre des services de sécurité ci-dessous, qui ont pour objectif de protéger des données ou des transactions sous forme électronique.
En pratique, ce service permet principalement de s'assurer que le correspondant connecté est bien le correspondant annoncé ou de s'assurer du signataire de l'acte.
IV. 1) Les Problèmes de Sécurités ? : Les menaces qui autrefois n’étaient que locales peuvent maintenant concerner tout un réseau d’entreprise. Il y a beaucoup de menaces contre lesquelles on doit se protéger quand on se connecte sur Internet, mais on peut les regrouper en quelques catégories générales :
MENACE = VULNERABILITE + PROBABILITE Une Menace implique un risque De façon quelque peu arbitraire, on peut regrouper de façon plus évidente les menaces potentielles en cinq grandes catégories personnalisées :
RISQUE = SENSIBILITE + MENACE Un Risque est associé à une ressource Un des risques que vous encourez en travaillant avec Internet est représenté par les célèbres pirates informatiques. La taille énorme du réseau d’Internet touche sa fiabilité et ouvre la porte aux problèmes suivants : erreurs de routage, pannes de transmission, corruption de données et pannes de composants physiques (comme les routeurs) et ce en n’importe quel des points en nombre apparemment infini. Quelques risques existant sur le réseau sont :
Puis viennent les risques légaux :
Enfin les risques financiers et liés au commerce électronique :
ATTAQUE = RÉALISATION D’UNE MENACE Certaines attaques, comme le trucage d’adresse, ont reçu une grande attention, il est important de garder à l’esprit que ce type d’attaques ne sont que l’un des nombreux types d’attaques observées sur Internet. Les différents types d’attaques possibles sont :
Les attaques sur les mots de passe impliquent une certaine exploitation des mots de passe. Une méthode commune d’infiltration pour intrus est d’essayer une combinaison nom d’utilisateur – mot de passe, puis une autre, ainsi de suite, jusqu’à ce que qu’une combinaison particulière le connecte à un système.
Plusieurs systèmes d’exploitation (UNIX , VMS ET Windows NT) ont des mécanismes d’accès sûrs conçus pour faciliter l’accès à d’autres systèmes ou domaines. Un agresseur qui devine le nom d’une machine ou une combinaison utilisateur – nom de machine peut accéder à une machine qui permet cet accès sûr. La menace d’accès machine par la confiance non autorisée augmente encore d’avantage quand le mécanisme de "confiance réciproque" ou confiance commune entre deux machines, existe. Un agresseur a seulement besoin d’accéder à une machine pour être capable d’accéder à l’autre. La limitation forte (ou dans certain cas l’interdiction) des mécanismes de confiance réciproque et la transmission de la confiance diminue les risques de sécurité sur Internet de façon substantielle.
Le trucage consiste en la fourniture d’informations fausses sur une personne ou sur l’identité de la machine d’origine pour obtenir un accès non autorisé aux systèmes et aux services qu’il fournit. Le trucage exploite la manière dont un client et un serveur se connectent l’un à l’autre. Bien que le trucage puisse se produire avec de nombreux protocoles différents, le trucage IP est l’attaque par trucage la plus connue de toutes. La première étape dans une attaque de trucage est d’identifier deux machines cibles, que nous appellerons A et B. une fois que les systèmes cibles sont identifiés, l’agresseur essaiera d’établir une communication avec la machine B de telle façon que B croie qu’elle a une communication avec A, alors qu’en réalité la communication est avec la machine de l’agresseur, ceci est fait en créant un message truqué. Le trucage IP est lourd et pénible. Cependant, une analyse récente d’incidents à découvert des outils automatiques qui réalisaient l’attaque complète par trucage en moins de 20 secondes. Le trucage IP est une menace dangereuse et croissante, mais heureusement relativement facile à contrer. La meilleur défense contre le trucage est de configurer des routeurs pour rejeter tout paquet entrant qui prétendrait venir du réseau interne. Cette précaution simple empêchera toute machine externe d’utiliser les relations de confiance établies sur le réseau interne.
Dans le détournement de session, un intrus cherche une communication réelle entre de machine et essai de prendre le pouvoir. Après avoir pris le contrôle d’une machine (Firewall ou un composant d’un réseau) par laquelle passe la communication, ou une autre machine sur le même réseau local que celui d’une des deux machines, l’intrus observe la communication comme il veut. Après avoir vu la communication, l’intrus peut générer le trafic qui lui semble venir de l’une ou l’autre des deux machines, en volant effectivement la session de l’un des deux correspondants. L’intrus obtient ainsi les mêmes privilèges d’accès que l’utilisateur légitime. Ensuite, l’utilisateur légitime est éliminé de la communication et l’intrus peut maintenant continuer ce que l’utilisateur originel a commencé. Se protéger contre le détournement de session est extrêmement difficile. Même les mécanismes d’authentification les plus forts ne réussissent pas toujours à empêcher les attaques.
Un réseau à support partagé est un réseau dans lequel les paquets sont transmis partout sur le réseau quand ils circulent de l’origine vers les points de destination. Les réseaux à supports partagé présentent un risque particulier car les paquets peuvent être captés à tout point de ces réseaux sauf si certains dispositifs de sécurité spéciaux sont mis en place. La capture des paquets de cette manière est connue comme "observation du réseau". Si un renifleur est installé n’importe où sur le long chemin entre machine origine et machine destination dans n’importe quel réseau d’entreprise, les informations de connexion peuvent être saisies et utilisées ensuite pour attaqué la machine de destination. L’observation du réseau est une des menaces les plus sérieuses pour les entreprises, même si les réseaux internes ne sont pas connectés à Internet. Cette méthode d’attaque est utile non seulement pour capturer les informations de connexion, mais, encore pour obtenir illégalement les données d’une entreprise et ses messages électroniques. De plus, il n’est pas aussi facile de se défendre contre l’observation du réseau comme il pourrait le sembler. Les mesures contre l’observation du réseau :
Les nombreuses vulnérabilités qui sont typiquement utilisées pour obtenir des services TCP/IP existent dans des programmes comme sendmail, FTP serveurs et les programmes NFS et NIS. Ces vulnérabilités peuvent être exploitées pour permettre beaucoup d’actions non autorisées, comme l’utilisation de ces services, l’accès aux fichiers critiques, l’accès aux données des utilisateurs et/ou des programmes et accès privilégié. Les fournisseurs réparent souvent ces vulnérabilités, uniquement pour découvrir qu’un autre utilisateur d’Internet "un cracker" a trouvé un autre moyen pour compromettre un ou plusieurs de ces services rendant nécessaires encore une réparation..
Les programmes dans UNIX et dans d’autres systèmes lisent souvent des bibliothèques partagées pour s’exécuter. Les intrus ont un astuce fréquent : ils remplacent certains programmes dans les bibliothèques partagées par des programmes qui accomplissent choses avantageuses pour eux. Remplacer un programmes dans une bibliothèque partagée par autre avec d’autres caractéristiques permet, par exemple, à intrus d’avoir un accès privilégié en exécutant un programme qui appelle cette bibliothèque partagée. La meilleure méthode pour contrer cette vulnérabilité est généralement de contrôler et d’assurer l’intégralité des bibliothèques partagées sur chaque système. De nombreux problèmes de sécurité sont dus à des individus malintentionnés. Le tableau ci-dessous en donne quelques exemples. On doit bien comprendre que pour qu'un réseau soit sûr il ne suffit pas que ses logiciels soient sans erreurs, il faut aussi se montrer plus malin que des adversaires intelligents et décidés, qui parfois disposent de gros moyens. Il faut aussi comprendre que certaines mesures arrêtant des adversaires occasionnels auront peu d'effets sur d'autres, plus motivés.
IV. 2) Les Solutions : IV.2. a) L’Authentification et les signatures digitales : L’authentification consiste à signer et vérifier le contenu des documents. Le moyen le plus simple d’arriver à ce résultat est de couper la présentation binaire du document en morceaux, puis d’additionner tous les morceaux comme s’ils étaient des nombres. Les algorithmes de "Broyage ou Hashing" servent à signer des documents en les plongent dans une potion magique cryptographique destinée à gêner les personnes cherchant à savoir comment un changement apporté au document affecte le broyage Cette technique empêche les pirates de modifier un document en gardant intacte la valeur de broyage. Les bits obtenus sont alors chiffrés avec la clé privée du signataire et la chaîne nouvelle créée est transmise en même temps que le document. Le destinataire broie le document reçu, déchiffre la signature et compare les deux résultats. S’ils correspondent, le destinataire est à la fois certaine de la provenance du document et de son intégrité. Mais cette théorie comporte deux failles. Elle suppose d’abord que la clé privé de l’expéditeurs n’a pas été découverte. Celui-ci doit toujours avoir un œil sur elle. Deuxièmement, la théorie suppose que le destinataire possède une copie valide de la clé publique de l’expéditeur. Si des personnes malintentionnées dérobent une clé privée quelconque ou se cachent derrière une fausse clé publique, ils peuvent construire une signature appartenant correcte. Ce problème n’est pas propre aux signatures numériques : la gestion des clés est le point le plus délicat de la cryptographie pratique. a1) Les Masque jetable : Qu’est ce qu’un masque jetable ? vous disposez, avec votre correspondant, d’un grands nombre de bits choisis au hasard. Vous appliquez aux bits de votre message un traitement xor avec une chaîne de bits aléatoires aussi longue que le message. Vous envoyez le résultat à votre correspondant, avec un en-tête de bits précisant quels bits ont été utilisés. Il applique un xor au message chiffré avec la même chaîne de bits aléatoires et le texte originel apparaît comme par magie. Le masque jetable ne nécessite pas que les bits soient complètement aléatoires, ils doivent juste être suffisamment imprévisibles pour qu’un adversaire ne puisse retrouver l’information d’origine à partir des chiffrées. Si on utilise les masque correctement, ils permettront de nous protégés contre les Menaces de Classe 5. Mais les masques jetables comporte quelques problèmes :
a2) Les Mots de passe : Un mauvais mot de passe peut rendre vos données presque aussi vulnérables que si elles n’étaient pas protégées du tout. Le mot de passe le plus courant est celui qu’on utilise pour se connecter à son compte. Comme la plupart de ces mots de passe sont trop simples à trouver, le login est l’un des chemins d’accès pour les Hackers.
Un mauvais mot de passe, c’est souvent :
Un bon mot de passe doit comporter assez d’éléments aléatoires pour être sûr, mais rester mémorisable. Ce sera par exemple :
a3) La signature des messages : PGP a d’autres fonctionnalités que le chiffrement des messages, on peut aussi l’utiliser pour signer électroniquement un document avec sa clé privée. Cela veut dire que vous pouvez envoyez un message que n’importe qui peut lire, mais en étant sûr qu’il vient de vous. Une signature électronique ne peut être imitée et un document signé ne peut être modifié sans invalider la signature. Ainsi, une signature ne sert pas uniquement à authentifier des données mais aussi à les protéger de toute altération. IV.2. b) Les Algorithmes et les Outils de Cryptage et de Chiffrement : L’ensemble des algorithmes de cryptage utilises des algorithmes à de chiffrement soit à clé secrète soit à clé publique ou les deux en même temps. Un système de chiffrement à clé secrète ou symétrique, repose sur le partage entre deux interlocuteurs en communication, d'une même clé secrète utilisée à la fois pour le chiffrement d'un message et pour son déchiffrement. La clé devra être échanger au préalable en toute sécurité. Un système de chiffrement à clé publique nécessite que :
Ainsi, pour chaque système de chiffrement à clé publique, le choix d'un couple de clés S et P et la publication de la clé publique P par un utilisateur souhaitant recevoir des messages ou émettre des signatures, permettent à tout autre utilisateur de lui envoyer des messages chiffrés ou de vérifier ses signatures. Une cette différence faite, regardons de près les solutions existantes pour les problèmes qui existent à ce sujet : rot13 : c’est un chiffrement simple par substitution. Protège contre les Menaces de Classe 0 : à recommander seulement au crime organisé.Crypt : c’est un utilitaire UNIX est fondé sur une version simplifiée du code machine World War II. Les logiciels permettant de casser le code Crypt sont légion sur Internet. Protège contre les Menaces de Classe 1 seulement.Chiffrement propriétaire dans certaines applications : Les suites logicielles les plus connues vous permettent généralement de chiffrer les fichiers. Il s’agit de chiffrements propriétaires souvent aisés à forcer. Protège contre les Menaces de Classe 1 seulement.Le DES : Le DES, ou Data Encryption Standard, a été développée au début des années 1970 par IBM. C’est un système à clé symétrique. Les interlocuteurs désirant communiquer avec DES devront préalablement avoir échangé leurs clés secrètement. Il travaille en manipulant des extraits de 64 bits du document à chiffrer qu’il brouille 16 fois d’une façon particulière.La seule faiblesse importante du DES réside dans la taille relativement courte de la clé de chiffrement : 56 bits. En moyenne, on trouve donc la bonne clé en deux heures. Utilisé avec une bonne clé, le DES convient aux Menaces de Classe 2. On peut éventuellement l’étendre aux Menace de Classe 3 pour encore quelques années. Le triple DES : Le triple DES compense l’un des défauts principaux du DES : la taille réduite de sa clé de chiffrement. Comme son nom l’indique, le triple DES effectue trois passes DES sur le document à chiffrer. En utilisant des clés différentes à chaque étape, on peut obtenir un chiffrement avec une clé de 168 bits (3 x 56). Un grand nombre de spécialistes estiment que cette taille est trop importante, il utilisent donc le même clé pour les première et troisième étapes, ce qui permet d’obtenir finalement une clé de 112 bits. Ce dernier mode est parfois désigné sous le terme de DES-EDE (Encode-Decode-Encode). Protège contre les Menaces de Classe 3 et éventuellement de Classe 4.IDEA : L’IDEA, pour International Data Encryption Algorithm, a été développé à la fin des années 1980 par James L. Massey et Xuejia Lai à l’ETH de Zurich. Selon Zimmermann. Comme le DES, l’IDEA manipule des blocs de données de 64 bits à la fois, mais avec un algorithme différent et breveté. De manière plus importante, l’IDEA utilise des clés de 128 bits, assez longues pour résister à une recherche brutale qui testerait toutes les combinaisons possibles. IDEA est utilisé dans le programme de PGP. Il permet de protège contre les Menaces de Classe 3 et éventuellement de Classe 4.RSA : RSA est un système de chiffrement et d’authentification par clé publique. Dans le chiffrement à clé publique, on crée deux clés. L’une des deux clés, que l’on rend publique, est utilisée par quiconque souhaite vous envoyer un message secret. L’autre clé gardée secrète et utilisée pour déchiffrer le message. Pour répondre, on utilise la clé publique de l’expéditeur. L’intérêt de cette technologie est qu’elle permet de communiquer confidentiellement avec quelqu’un sans avoir à échanger des clés secrètes.Avec RSA, on crée sa clé publique en multipliant deux nombres premiers de taille à peu près égale. La clé secrète est l’un des deux nombres premiers. On peut toujours retrouver l’autre en effectuant une division. Ainsi, une clé publique RSA de 512 bits est le produit de deux nombres premiers d’une taille de 256 bits chacun. Suivant la longueur de la clé, RSA contre les Menaces suivantes :
RIPEM : PEM, Privacy-Enhanced Mail, est un standard Internet pour envoyer du courrier chiffré et/ou authentifié. PEM permet d’utiliser de multiples schémas de chiffrement et de signatures. RIPEM (Riordan’s Internet Privacy-Enhanced Mail) est une implémentation de ce standard qui utilise DES pour le chiffrement et RSA pour la clé publique. En option RIPEM peut utiliser, au moment du chiffrement, le triple DES.Comme dans le cas de RSA, la protection de RIPEM dépend de la taille de la clé utilisée et permet de contrer les Menaces suivantes :
PGP : Les héros sont nombreux sur Internet. Parmi tous eux, Philip Zimmermann représente une catégorie à lui seul. Il ne s’est pas contenté d’écrire un excellent programme, mais à risqué la prison pour prix de ses efforts. Le programme de Zimmermann s’appelle PGP, Pretty Good Privacy, et son concept est similaire à celui de RIPEM.Comme RIPEM, PGP utilise la technique de clé publique de RSA mais IDEA à la place de DES pour le chiffrement. PGP systématise la distribution de clés publiques et dépasse RIPEM en maintenant secrète l’identité de l’expéditeur ce qui complique une l’analyse du trafic. La protection qu’offre PGP comme avec RSA qu’il utilise, dépend de la taille de la clé. Il permet de contrer les Menaces suivantes :
RC2 et RC4 : RC 2 et RC4 sont des algorithmes propriétaire développés par Ron Rivest, de RSA Data Sécurity. RC 2 et RC4 avec des clés de 40 bits peuvent contrer les attaques Classe 1. Ils fournissent aussi une protection à court terme (quelques jours) contre les attaques Classe 2. RC 2 et RC4 avec des clés plus longues (128 bits, par exemple) sont peut-être aussi efficaces que l’IDEA ou le triple DES, mais on n’est pas encore sûr. Il ne sont pas recommandés pour les menaces au-delà de la Classe 2. b11) Clipper, Capston, Skipjack et Tessera : Le socle sur lequel furent bâties de nombreuses applications commerciales – le DES – se fragilise rapidement, érodé par les vagues successives des avancées technologiques (dans les circuits intégrés). Les utilisateurs sont réticents pour adopter d’autres outils – IDEA, RCA4 et le triple DEA – sans l’accord du gouvernement américain. Pour résoudre ce dilemme, la NSA (National Security Agency - USA) a proposé une famille de produits de chiffrement à support matériel, aux noms de Clipper, Capstone, Skipjack et Tessera. Ces produits mettent en œuvre un nouveau concept appelé le Key escrow. Voici comment cela fonctionne. L’algorithme de chiffrement de Clipper, Skipjack, est secret : la NSA ne souhaite pas que le grand public connaisse ce qu’elle considère comme une méthode de chiffrement très efficace. Pour utiliser l’algorithme, les constructeurs doivent acheter une puce spéciale qui le contient sous une forme microcodée inviolable. Les utilisateurs peuvent choisir leurs propres clés de session de 80 bits. La puce chiffre cette clé de session avec une clé spéciale de 80 bits gravée dans le silicium au moment de sa construction. Chaque clé spéciale de puce est séparée en deux parties de 40 bits détenues par deux agents Key escrow distincts. L’algorithme Skipjak étant secret on ignore son degré de sécurité ce qui nous amènes à dire que peut-être que la NSA a installé une porte secrète pour découvrir les clés et les messages. Clipper est efficace contre les Menaces de Classe 4. Il est aussi un bon allié contre les Menaces de Classe 5 pourvu qu’elles n’émanent pas du gouvernement américain. b12) La Carte PCMCIA : L’un des produits les intéressants dans le domaine de sécurité des données est la carte de chiffrement. Celle-ci contient une mémoire non-volatile, inviolable et une puce implémentant un ou plusieurs algorithme. Une carte PCMCIA (Personal Computers Manufacturers Association and Computer-Industry Association) a la taille d’une carte de crédit et est environ quatre fois plus épaisse. Son intérêt réside dans le fait que votre clé ne doit jamais la quitter et certaines implémentations de cette technologie rendent virtuellement impossible de trouver la clé sur la carte. Quand vous voulez décoder un message reçu sur l’ordinateur, vous insérez la carte PCMCIA dans la baie. Vous tapez votre mot de passe, celle-ci est déverrouillée et l’ordinateur lui fournit alors la clé de session, chiffrée par l’émetteur avec votre clé publique. Le chiffrement fonctionne de la même manière. Parmi les avantages de la carte de chiffrement :
L’un des désavantages de cette technique est qu’on ne peut pas effectuer de copie de sauvegarde de la carte. Dans la plus part des cas, le risque de perdre ses données, avec une carte de chiffrement, est plus grand que celui de se les faire dérober. Un Firewall (ou coupe-feu ou garde barrière) est presque toujours installé dans le but de protéger un réseau privé des intrusions illégitimes. Dans la plupart des cas, il sert à empêcher des utilisateurs non-autorisés d’accéder aux ressources de ce réseau et parfois à interdire une exportation frauduleuse d’informations. L’exportation d’informations passe parfois au second plan, mais, pour beaucoup d’entreprise c’est une préoccupation importante. c1) Les éléments constituants d’un Firewall : On se trompe souvent de terminologie lorsqu’on parle des Firewalls car ils ont presque tous une implémentation voire un objectif différent : 1) Le routeur-filtre : le routeur-filtre est un élément de base de la plupart des Firewalls. Ce peut être un routeur commercial ou résidant au contraire dans l’organisation, qui possède des fonctions de filtrage. En général, ces routeurs peuvent bloquer le trafic entre des réseaux ou des hôtes spécifiques au niveau du port IP. Certains Firewalls ne sont rien de plus que des routeurs filtres installés entre un réseau privé et l’Internet. 2) Le hôte bastion : les bastions ou places fortes ont une vue d’ensemble sur toutes les zones avoisinantes et possèdent généralement des murs épais. Un hôte bastion est un système identifié par l’administrateur du Firewall comme un point renforcé de la sécurité du réseau. La plupart du temps, on accorde une attention particulière à leur solidité, on les inspecte régulièrement et ils sont parfois équipés logiciels modifiés. 3) La double passerelle locale : certains Firewalls ne disposent pas d’un routeur de protection, mais, d’un système à cheval sur le réseau privé et Internet, qui désactive le trafic direct TCP/IP. Les hôtes du réseau privé et ceux d’Internet peuvent communiquer avec la passerelle, mais, jamais directement entre eux. Une double passerelle locale est par définition un hôte bastion. 4) La passerelle à hôte filtré : est peut-être la configuration de Firewall la plus courante. On utilise pour l’implémenter, un routeur de filtrage et un hôte bastion qui la plupart du temps se trouve sur le réseau privé. Le routeur de filtrage est configuré de telle sorte que l’hôte bastion soit l’unique interlocuteur autorisé du trafic venant d’Internet. Tous ses ports, en outre, ne sont pas accessibles, ce qui limite le nombre de services autorisés. 5) La sous-réseau filtre : dans certains configurations de Firewalls, on crée et isole un sous-réseau entre Internet et le réseau privé. L’isolement s’effectue généralement par le biais de routeurs de filtrage. La plupart du temps, un sous-réseau filtré est configuré de telle sorte qu’Internet et le réseau-privé y aient tous deux accès, mais, sans pouvoir aller plus au-delà. Certaines implémentations de sous-réseaux comprennent un hôte bastion jouant le rôle d’un terminal ou supportant des passerelles pour applications. 6) La passerelle d’applications : ce type de passerelle est aussi appelée proxy gateway. La plupart des programmes Internet fonctionnent sur le mode stockage-redistribution, les logiciels de courrier et les news Usenet collectent des informations, les examinent et le redistribuent. Les passerelles d’applications sont des redistributions – ou réflecteurs – de services particuliers, qui opèrent généralement en mode utilisateur plutôt qu’en mode protocole. Ces redistributions, lorsqu’elles fonctionnent sur un Firewall, peuvent représenter une certaine menace pour la sécurité. 7) La passerelle hybride : Les passerelles hybrides entrent dans la catégorie "divers & bizarres" de la liste. C’est, par exemple, un hôte relié à l’Internet mais uniquement accessible via des liens séries connectées sur le serveur terminal Ethernet du réseau privé. De telles passerelles peuvent utiliser plusieurs protocoles en même temps ou les uns sur les autres. Les routeurs surveilleront toutes les connexions TCP/IP ou étudieront d’une manière ou d’une autre ou le trafic pour prévenir une attaque. c2) La mise en place d’un Firewall : Même en considérant que les Firewalls remplissent leur mission d’aide à la protection du réseau, il reste important d’en examiner chaque type sous différents angles :
c3) Les limitations des Firewalls : Contrairement à une idée reçue, les Firewalls ne sont pas la panacée pour vos problèmes de sécurité Internet. Il y a beaucoup de tâches que des Firewalls ne peuvent exécuter :
IV.2. d) IP nouvelle génération (IPng) : La version actuelle du protocole Internet (IP) a atteint la fin de sa vie. Un remplacement proposé d’IP, connu comme IP nouvelle génération (IPng) est développée par l’IETF. Dans le domaine de la sécurité, IPng fournit les services d’intégrité, d’authentification et de confidentialité. Ces services peuvent être fournis ensemble ou isolément, en utilisant la même Entête d’Authentification (AH) et les méthodes d’Encapsulating Security Payload (ESP) comme elles sont proposées pour la version actuelle d’IP. La différence majeure est que l’Entête d’Authentification sera nécessaire dans IPng tandis que dans la version actuelle IP elle est un élément optionnel. IV. 3) La Mise en Œuvre de la Sécurité : La sécurité parfaite est un but difficile à atteindre. En pratique, il faut tenir compte de toutes les menaces possibles et essayer de s’en prémunir de manière équilibrée en choisissant un plan de sécurité adapté à la situation. Pour ce faire, il va falloir répondre à un certain nombre de questions dont le détail est ci-après :
Un grand nombre d’informations différentes méritent d’être protégées : fichiers médicaux, spécifications d’un produit nouveau, facture envoyée par courrier électronique, etc. Chaque type d’information requiert une approche spécifique.
Un message E-Mail peut avoir une longueur de mille octets dont quelques douzaines, seulement, contiennent de l’informations à protéger. Une vidéoconférence sur un réseau de fibre optique peut, quant à elle, générer des centaines de gigaoctets par heure.
Les discussions en petit comité sur un produit révolutionnaire ne doivent pas être protégées après annonces officielles à la presse. En revanche, l’infection d’un individu par le virus de SIDA peut être secrète tout au long de sa vie, voire après sa mort.
La communication entraîne des risques particuliers. Des personnes mal intentionnées peuvent intercepter les messages en cours de route, pour les lire ou simplement connaître le nom du destinataire. Elles peuvent aussi modifier leurs contenus ou en écrire de nouveaux sous votre identité. Avec des degrés divers de réussite le chiffrement doit prendre en compte ces paramètres. Mais les données sont également vulnérables sur le site où elles sont crées et sur celui où elles sont envoyées. La protection des informations sur un endroit fixe peut être encore plus difficile que la confidentialité de leur communication. On peut s’assurer, avec un peu d’attention, qu’on ne transmet que des données chiffrées, mais il faut bien déchiffrer de temps en temps les informations stockées sur des sites particuliers, si on veut les utiliser.
Plus le nombre de personnes détenant un secret est grand, plus celui-ci est menacé. Les chiffres parlent :
Donc comment trouver le coupable dans une liste de suspects certainement innocents à 99% ?.
Une bonne analyse des menaces est cruciale dans la mise en place d’un système de sécurité.
Une liste de clients dérobée peut faire perdre des ventes à une entreprise. Plus les conséquences d’une perte de confidentialité sont graves, plus on doit veiller à protéger les données.
Dans certain cas la loi exige qu’on protège l’information. Parmi, les organismes qui veille au respect de cette loi en France, il y a la commission informatique et liberté.
C’est l’un des problèmes les plus délicats. Pour résoudre ce problème on peut faire appel à un consultant ou à une entreprise spécialisée telle que la société ASCOM Tech AG (Suisse).
Un point important, en cryptographie, est de savoir distinguer le type de menaces auquel on a faire. Il faut absolument en tenir compte dans un système de sécurité bien conçu et s’en préoccuper avec autant de soin que du chiffrement des messages sur Internet.
L’exemple le plus frappant et le plus original est TEMPEST qui est difficile à combattre; les circuits de l’ordinateurs émettent des fréquences de communication radios, ces émanations permettent à un espion disposant de l’équipement adéquat de lire par dessus votre épaule ce qui s’inscrit sur l’écrans de l’ordinateur, la solution, c’est une salle blindé. Même en répondant à toutes ces questions on n’aura pas un plan d’action parfait, c’est pourquoi, il va falloir les combiner et les compléter avec la méthode décrite dans le graphe suivant : A travers ce travail, nous avons pu passer en revue tous les services fournis par Internet et leur utilisation ainsi que les apports pour ceux qui les utilisent. Les utilisations d'Internet par les entreprises sont très variées. Par ses mécanismes techniques et commerciaux, Internet modifie l'échiquier mondial de la transmission de données. Les opportunités pour les entreprises sont nombreuses, tant en termes d'économies qu'en termes de gains de parts de marché. Elles découvrent régulièrement de nouvelles utilisations du réseau centrées sur leur métier et sur leurs besoins. De nouveaux métiers, de nouveaux secteurs d'activités vont naître du "réseau des réseaux". La prochaine décennie s'annonce riche de changements. Mise en place d’Internet Concernant, la mise en œuvre d’Internet, dans toute la littérature existante la plupart des livres font allusion à l’ensemble des services qu’offre Internet. Mais, quand on pose la question comment faire ? , la réponse en générale est, il faut une connexion auprès d’un fournisseur d’accès, certes c’est une réponse mais elle est incomplète. Certains écris, nous ont permis d’étudier une méthode qu’ils conseillent aux entreprises qui veulent mettre en place Internet. Cette méthode est bonne mais elle est loin d’être complète et parfaite pour éviter tous les pièges que l’entreprise. Cette méthode définie en quatre étapes la mise en place d’Internet, en commençant par une réflexion sur les besoins et l’information en interne des concernés, puis choix de la connexion et du provider, et finir par la formation. A première vue, cette méthode, insiste sur les différents types connexions possibles avec une analyse des coûts qui s’y rattache. Mais, elle ne détaille pas assez les étapes d’information et de formation des personnes concernées pour que l’entreprise puisse savoir comment s’y prendre. Le point faible de cette méthode est, quelle n’insiste pas assez sur le point du plan de sécurité qui est le point le plus important pour une entreprise car en s’ouvrant sur Internet, elle risque que ses données et ses secrets subissent des attaques de la part de n’importe qui. Pour revenir sur le point de la connexion, on peut s’apercevoir que si l'on trouve aujourd'hui des solutions de connexion pour un poste isolé à environ 6000 Frs par an, voire beaucoup moins, il faudra compter 90 000 à 120 000 Frs par an pour la liaison d'un réseau local de façon d'un réseau local de façon professionnelle. A l'entreprise de faire en sorte que ce coût soit contrebalancé par une meilleure productivité interne et par gains de communication avec l'extérieur accrus (fournisseurs, filiales, client, prospects). La méthode étudiée donne le même résultat, mais, l’entreprise à besoin de plus que cela car elle veut savoir comment ça marche et le plus important c’est comment décider. L’un des autres défaut de la méthode est qu’elle met l’accent sur l’entreprise, c’est-à-dire qu’elle ne définit pas assez les relations et les interactions entre le projet, les partenaires et l’entreprise. Ce manque de définition jette un flou sur le déroulement de la méthode. Ce flou ouvre une optique de recherche sur une méthode complète sur la réalisation d’une méthode claire et complète avec instance sur le mot complète sans oublier qu’elle devra être facile à appliquer. Mise en place d’Intranet Pour la mise en place d’Intranet, la majorité nous fournis la plupart du temps soit les grandes lignes à suivre soit un ensemble de question aux quelles il faut y répondre pour une bonne implémentation. Mais, heureusement, que quelques-uns nous offres d’avantage, telle que Denis LAFONT, qui fournit dans sont ouvrage une méthode détailler et très complète mais très claire au niveau de la terminologie. Le point fort de cette méthode et quelle met l’accent sur la participation de l’ensemble des différents partenaires interne et externe de l’entreprise vu leur implication majeur dans le fonctionnement de celle-ci. La voie de recherche ouverte dans ce domaine, touche juste l’amélioration de cette méthode en la complétant par une partie qui permettra de suivre le SI dans son évolution. Donc, une partie qui permettra de faire du prévisionnel. Mise en place d’un site Web Pour la mise en place d’un site web, la littérature est très confuse et insiste trop sur le côté technologie et aucune ne développe le point de la méthodologie ce qui laisse libre cours aux différents utilisateurs que ce soit pour les entreprises ou pour les personnes. En parcourant, les sites web et les différents ouvrages sur Internet on peut en dégager et en donner une schématisation décrite dans une partie de ce document. Cette partie ouvre la porte à une recherche mais que dans le cadre d’un projet de DEA et ne nécessite pas toute une recherche car la matière première existent et il suffit juste de lui donner un cadre formel et méthodologique. Mise en place de la sécurité En ce qui concerne la mise en ouvre de la sécurité, les ouvrages parlant de sécurité aborde le problème de différentes manières en proposant des méthodes pour la réalisation des solutions. Toutes les méthodes proposées mettent l’accent sur les besoins de l’entreprise en terme de sécurités mais, elles ne leurs disent pas comment s’y prendre. La solution miracle n’existe pas et il faut demander de l’aide extérieure. Les méthodes proposées sont sous formes soit de questions successives soit de schéma d’étapes. Certes, ces méthodes ont le même objectif mais elles sont très complémentaires. Ce qui induit qu’il faut créer et générer une nouvelle méthode plus complète pour répondre le mieux possible aux attentes des entreprises car tout le monde connais l’importance de la sécurité pour celle-ci. On peut dire aussi que tant qu'une loi sur le cryptage des informations n’est pas reconnue au niveau international, la sécurité des messages en transitant sur les réseaux locaux et Internet ne sera pas assurée de façons catégorique car la sécurité 100% n’existe pas. RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES 1 Notes de cours (du DESS-RADI, Université de CAEN et de Anne BEGIN du CNET de CAEN ).& Jean-Luc ARCHIMBAUD, "L’Internet Professionnel : Présentation de l’Internet", CNRS Editions, Février1995, p. 15-64.& Jean-Luc ARCHIMBAUD, "L’Internet Professionnel : Présentation Technique des Services", CNRS Editions, Février1995, p. 65-124.& Marion BOUGERAD, "Deux PME sur Trois ouvriront un site web avant l'an 2000", Magazine l'Internet Professionnel, n°20, Mai 1998, p. 8-9.& Denis LAFONT, "L’Internet Professionnel : l'Internet vu par l'entreprise", CNRS Editions, Février1995, p. 313- 315.Ouvrages & Alain BENSOUSSAN, "Internet aspects juridiques", Editions HERMES , 1996, 128 pages.& Richard J. SMITH & Mark GIBBS, "Internet", Editions SYBEX, Collection LVRE D'OR, 1996, 763 pages.& John R. LEVINE & Carol BAROUDI, "Internet : les fondamentaux", Edition THOMSON Publishing, 1996, 976 pages.& Oliver ANDRIEU & Denis LAFONT, "Internet et l'Entreprise", Editions EYROLLES, 1995, 395 pages.& Magazine l'Internet Professionnel, "Le Guide du Web Master", First Editions, 1997, 482 pages.& Chapitre "Commerce électronique" du Livre Blanc de l'AFTEL (Association Française de la Télématique), "Internet : les enjeux pour la France", Edition AFTEL, 1997.& Alain MASSER, "Internet, la révolution est pour demain", les Editions du Téléphone, 1996, 335 pages.& Frédérique ALIN & Denis LAFONT & Jean - François MACARY, "Le Projet Intranet", Editions EYROLLES, novembre 1996, 257 pages.& Andrew THANENBAUM, " Réseaux ", Éditions InterEditions (PARIS) et Éditions PRENTICE HALL (LONDRE), 1997, 792 pages.& Michel GERMAIN, "L’Intranet", Editions ECONOMICA Collection Gestion Poche, 1998, 112 pages.Rapport & Francis LORENTZ," Commerce électronique : une nouvelle donne pour les consommateurs, les entreprises, les citoyens et les pouvoirs publics ", Rapport de Groupe de Travail, Ministère de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, 7 janvier 1998, "http://www.finances.gouv.fr/commerce_electronique/lorentz/sommaire.html".LOIS & "La réglementation française en matière de cryptologie" ,Service Central de la Sécurité des Systèmes d'Information et Secrétariat d'Etat à l'Industrie et Service des Industries de Communication et de Service, Juin 1998, "http://www.telecom.gouv.fr/francais/telecharg/cryp_w97.doc".Sites Web : Site de l'Unité Réseaux (UREC) du CNRS "http://www.urec.fr".: Site de l'UNIG "http://www.imaginet.fr/ime".: Site du chapitre français de l'ISOC "http://www.isoc.asso.fr".: Site de l'AFTEL "http://www.aftel.fr".: Site du Ministère de l'Économie et des Finances "http://www.finances.gouv.fr".: Site du Ministère de l’industrie sur les télécommunications, les technologies et services de l'information, le secteur postal "http://www.telecom.gouv.fr/francais.htm".Une version plus détaillée de ce travail dont vous pouvez en profiter. Le fichier source "internet.zip" (93 Ko) de ce travail ![]()
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